Song title : [ Acacia ] Julien Doré
Il y a des jours, des matins, des soirs, des nuits, ou l'on aimerai pleurer toute les larmes de son cœur, hurler qu'on a peur, hurler qu'on est seule.
Il y a des jours, des matins, des soirs, des nuits, on l'on aimerait oublier ce qui s'est passé avant, ce joli mois de mai, ce joli moi de mai, oublier ces regards, ces sourires qui nous font souffrir aujourd'hui. Oublier la pitié.
[ Juste une fois, juste une heure, un jour, un mois, juste un rêve ]
Il y a des soirs on l'on écoute la même musique, la même voix, pour les mêmes souvenirs, se remémorer un passé que l'on doit oublier, que l'on a trop idéaliser, qu'on en oubli presque la réalité, le présent, le futur, et l'espoir.
Il y a des nuits ou l'on a mal au cœur tellement il bat vite, des rêves que l'on ne veut plus faire, des rêves que l'on veut oublier, que l'on sait qu'il ne se réaliseront jamais. Et la douleur s'étend jusque dans l'esprit, jusque dans les entrailles.
Il y a des matins ou l'on a pas envie de se lever, pas envie d'ouvrir les yeux sur la réalité, sur la pauvreté de sa propre vie, pas envie de se battre un jour de plus, pour survivre, pour garder espoir, il y a des matins ou l'on a plus confiance.
[N'en parlons plus c'est du passé, il faut continuer ]
Il y a tout simplement des jours ou l'on aimerait retrouver ce joli mois de mai, ces regards, ces papillons dans le cœur, mais on n'ose se l'avouer.
Il y a des jours, des matins, des soirs, des nuits, ou l'on aimerai pleurer toute les larmes de son cœur, hurler qu'on a peur, hurler qu'on est seule.
Il y a des jours, des matins, des soirs, des nuits, on l'on aimerait oublier ce qui s'est passé avant, ce joli mois de mai, ce joli moi de mai, oublier ces regards, ces sourires qui nous font souffrir aujourd'hui. Oublier la pitié.
[ Juste une fois, juste une heure, un jour, un mois, juste un rêve ]
Il y a des soirs on l'on écoute la même musique, la même voix, pour les mêmes souvenirs, se remémorer un passé que l'on doit oublier, que l'on a trop idéaliser, qu'on en oubli presque la réalité, le présent, le futur, et l'espoir.
Il y a des nuits ou l'on a mal au cœur tellement il bat vite, des rêves que l'on ne veut plus faire, des rêves que l'on veut oublier, que l'on sait qu'il ne se réaliseront jamais. Et la douleur s'étend jusque dans l'esprit, jusque dans les entrailles.
Il y a des matins ou l'on a pas envie de se lever, pas envie d'ouvrir les yeux sur la réalité, sur la pauvreté de sa propre vie, pas envie de se battre un jour de plus, pour survivre, pour garder espoir, il y a des matins ou l'on a plus confiance.
[N'en parlons plus c'est du passé, il faut continuer ]
Il y a tout simplement des jours ou l'on aimerait retrouver ce joli mois de mai, ces regards, ces papillons dans le cœur, mais on n'ose se l'avouer.