Ce soir je me suis ballader, je regardais autour de moi, et je ne voyais que des maisons, de grande maisons tout juste terminer de construire, j'imaginais les enfants en train de prendre le gouter, j'ai vu un pere ramener sa fille de l'ecole, elle est sortis, a sauter et danser de partout, avec un rire inoubliable.
Et la je me suis dit que c'est sa un jour que je veux.
Puis une boule au ventre est soudain revenu, au mileu de ce calme qui pesait, malgres cette bulle qui tournait autour de moi, j'ai eu encore une fois tres peur, la realité a frapper d'un coup sans prevenir.
Et si j'arrivais pas a faire ce que je veux faire, c'est un reve de gamine, et jusqu'a mainant je m'etait toujours imaginé dans mon cabinet d'architecte, ma table d'architecte, l'equerre poser dans un coin, des tonnes de dossier pour tout les projets, des plans poser sur la table, 4 ou 5 plans qui se superposent ...
Tout est dans ma tete, comment je vais faire, ou je veux travailler, comment je veu m'y prendre...
Mais si je n'arrivais pas ? et si j'etais recalé ?
J'ai une boule au ventre a l'idée de tout louper, de laisser glisser entre mes doigts mon reve de gamine.
Au debut j'y penser pas a tout sa, j'etais insouciante, je m'imaginais deja y arriver, etre a l'ecole, il suffit de voir les etincelles qui naissent dans mes yeux quand je passe devant l'ecole d'architecte de saint etienne.
Alors aujourd'hui j'ai une trouille bleue a l'idée de pas y arriver, de decevoir tout le monde, de decevoir mes parents, et encor plus de me decevoir moi....
Je rentre sur un dossier, mon dossier personnel est meme pas terminé, je suis meme plus sur que ce que j'ai commencé a faire soit assez bien.
Ma lettre de motivation n'est pas attaqué. Et il demande le bulletin de premiere et de terminal, mais quand je vois les moyennes, les notes que j'ai je me dis que j'ai pas mes chances, l'année derniere j'etais pas dans la realité d'un probable echec, et la aujourdui sa me vient en pleine face. Si j'echou je serai la seul responsable....
Cela fait deja 1 mois et demi que sa trotte dans ma tete, je suis en panique tout les jours, et a chaque fois le meme mal de ventre reviens, une stressé de la vie, oui on peut le dire ...
Je m'accroche de toute mes forces mais je sais que sa peut me filer entre les doigts ....
Et la je me suis dit que c'est sa un jour que je veux.
Puis une boule au ventre est soudain revenu, au mileu de ce calme qui pesait, malgres cette bulle qui tournait autour de moi, j'ai eu encore une fois tres peur, la realité a frapper d'un coup sans prevenir.
Et si j'arrivais pas a faire ce que je veux faire, c'est un reve de gamine, et jusqu'a mainant je m'etait toujours imaginé dans mon cabinet d'architecte, ma table d'architecte, l'equerre poser dans un coin, des tonnes de dossier pour tout les projets, des plans poser sur la table, 4 ou 5 plans qui se superposent ...
Tout est dans ma tete, comment je vais faire, ou je veux travailler, comment je veu m'y prendre...
Mais si je n'arrivais pas ? et si j'etais recalé ?
J'ai une boule au ventre a l'idée de tout louper, de laisser glisser entre mes doigts mon reve de gamine.
Au debut j'y penser pas a tout sa, j'etais insouciante, je m'imaginais deja y arriver, etre a l'ecole, il suffit de voir les etincelles qui naissent dans mes yeux quand je passe devant l'ecole d'architecte de saint etienne.
Alors aujourd'hui j'ai une trouille bleue a l'idée de pas y arriver, de decevoir tout le monde, de decevoir mes parents, et encor plus de me decevoir moi....
Je rentre sur un dossier, mon dossier personnel est meme pas terminé, je suis meme plus sur que ce que j'ai commencé a faire soit assez bien.
Ma lettre de motivation n'est pas attaqué. Et il demande le bulletin de premiere et de terminal, mais quand je vois les moyennes, les notes que j'ai je me dis que j'ai pas mes chances, l'année derniere j'etais pas dans la realité d'un probable echec, et la aujourdui sa me vient en pleine face. Si j'echou je serai la seul responsable....
Cela fait deja 1 mois et demi que sa trotte dans ma tete, je suis en panique tout les jours, et a chaque fois le meme mal de ventre reviens, une stressé de la vie, oui on peut le dire ...
Je m'accroche de toute mes forces mais je sais que sa peut me filer entre les doigts ....
Je n'arrive pas a continuer mon histoire, ma nouvelle, mais j'ai des bouts d'idée qui fusent, qui viennent dans ma tete et je voulais vous en faire part :
"alors q'ils parlaient et marchaient le long de la rue, leurs mains se frolerent, puis l'une dans l'autre elles ne formerent plus qu'une."
"Sur le quai une voix sortis du nul part annonça l'entrée en gare du train en direction de Paris. Le silence se faisait de plus en plus lourd, ils ne savaient quoi se dire."
"Leur yeux parlaient à leur place."
"Elle s'apreta à faire demi tour, à lui tourner le dos sans un mot, à rentrer dans le train, quand il l'atrapa par le bras et d'un geste de folie leurs deux corps restèrent unis. Sa main carressa sa joue, leurs yeux se fermèrent, leurs bouches finirent leur route dans un doux et long baiser."
"Tout etait dit."
"Les yeux encore fermés, la tete posée sur son epaule elle resta la, enfoui dans ses bras. Un controleur passa par la et brisa la magie, il etait temps de partir, le train allait redémarrer. Il annonça à la jeune femme qu'il fallait réembarquer."
"Une fois rentré à Paris, elle inscrira dans son agenda : "J'aimerais encore une fois me perdre dans un de tes baiser..."
Lui, il écrira dans un de ses dessins : "quand est ce que tu reviens ?""
La suite prochainement promis ...
"alors q'ils parlaient et marchaient le long de la rue, leurs mains se frolerent, puis l'une dans l'autre elles ne formerent plus qu'une."
"Sur le quai une voix sortis du nul part annonça l'entrée en gare du train en direction de Paris. Le silence se faisait de plus en plus lourd, ils ne savaient quoi se dire."
"Leur yeux parlaient à leur place."
"Elle s'apreta à faire demi tour, à lui tourner le dos sans un mot, à rentrer dans le train, quand il l'atrapa par le bras et d'un geste de folie leurs deux corps restèrent unis. Sa main carressa sa joue, leurs yeux se fermèrent, leurs bouches finirent leur route dans un doux et long baiser."
"Tout etait dit."
"Les yeux encore fermés, la tete posée sur son epaule elle resta la, enfoui dans ses bras. Un controleur passa par la et brisa la magie, il etait temps de partir, le train allait redémarrer. Il annonça à la jeune femme qu'il fallait réembarquer."
"Une fois rentré à Paris, elle inscrira dans son agenda : "J'aimerais encore une fois me perdre dans un de tes baiser..."
Lui, il écrira dans un de ses dessins : "quand est ce que tu reviens ?""
La suite prochainement promis ...