La vie parfois sa devient tellement con.
On s'abruti devant une série débile, puis dans l'épisode 5 de la saison 5 on pleure des les premières notes d'un chanson, et la on se rend compte que cette chanson, c'est "the chanson".
La seul l'unique, agréable a l'oreille, et qui viens nous transpercer de l'intérieur, juste avec quelques notes je sais déjà à l'avance que mes larmes vont couler. Même si la minute d'avant je souriais. Ce n'est pas les paroles, c'est la voix de ce chanteur, c'est l'univers que m'enveloppe a chaque fois, c'est ce timbre qui me touche, ces notes, cet instruments, tout est si parfait.

La vie parfois sa devient tellement con.
Je me retrouve a reprendre le contact avec le monde de l'internet, et de mon blog, en écrivant un discours de dix pages sur une simple chansons.

Je sais que je dois écrire, je sais que j'en ai besoin de tout déballer, une fois de plus, pas la dernière, certainement pas. Mais sa ne veut pas. Tout est peu être déjà dit, même si certaine choses restent encore en suspend. En réalité, je le sais trop bien, mais je ne veux pas m'y soumettre, des tas de choses sont belles et bien terminés, des histoires qui on eu le temps d'inventer des souvenirs, et d'autre qui laissent qu'un manque a l'intérieur. Comme si ce n'était pas finis.
Charabia de mots, que personne ne peut comprendre a part moi. Je suis comme sa. Difficile de se découvrir, de se mettre a nus sans des figures acrobatique pour éviter ma vie, tourner autour du pot .

C'est fou comme la vie parfois c'est con.
Je pars manger, je laisse en suspens ces quelques mots, je n'osent même pas les relire car sinon je prends le risque de les effacer. Et une fois de plus j'ai refermé la porte, mes souvenirs sont enfouis au fond, je ne sais plus quoi dire, ni que faire. Éternelle manège pour trouver un minimum d'inspiration, pour écrire quelques mots sans sens, qui se ressemblent tellement, tellement trop.

Je laisse mes oreilles traîner sur radio blog, on y découvre parfois de magnifiques choses, et sa j'aime.
En ce moment j'aime beaucoup de choses, et sa ne présage rien de bons. Car viendra bien vite le temps ou j'enverrais tout balader sur une autre planète, et ou je déciderais de tout détester, pour changer.

C'est fou comme la vie parfois c'est con.
Je n'arrive rien a dire, rien ne sort, et pourtant le mal de ventre lui ne s'en va pas, le papillon est toujours la, mais il s'est caché au mauvais endroit, et les ailes qu'il tente d'agiter blesse les parois de sa prison.

Peu être la seul phrase a peu près potable de la soirée, je suis fier.

Fin